09/02/2022
Le Royal
Photographie Maurice Bérard, © Ville de Nice
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08/02/2017
Le Concorde, face arrière
Voici une série de photographies prises en 2010 qui montrent la façade arrière de l'ancien cinéma Capitole, ex-Exclesior, rue Pastorelli. Restent bien visibles les issues de secours et l'escalier. - Photographies Vincent Jourdan.
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06/10/2014
Le Capitole intérieur
Photographie Nice Matin © Cyril Dodergny
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04/10/2014
Le Capitole (façade 2010)
Photographies Vincent Jourdan
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01/10/2014
La Cinémathèque de Nice
Il est temps d'achever ce voyage à travers les salles de cinéma niçoises et, depuis le Capitole, grimper jusqu'à l’îlot des Serruriers au cœur du vieux Nice. C'est là au 4 de la rue Saint Joseph que fut créée le 13 juillet 1976 la Cinémathèque de Nice en présence de son prestigieux parrain, Henri Langlois, créateur de la Cinémathèque Française et de l'idée même de préservation des films ainsi que de tout ce qui se rapporte à leur histoire. Dennis Hopper, le réalisateur américain de Easy rider et l'acteur, inoubliable photographe de guerre dans le Apocalypse now de Francis Ford Coppola, était de la fête avec son grand Stetson.
Le spectateur entrait dans un grand hall décoré d’immense photographies de films tournés à l'époque du muet aux studios de la Victorine. Puis on descendait sur la droite un petit escalier qui menait à la salle, fauteuils en peluche orange si je me souviens bien, et puis un rideau qui s'ouvrait au moment magique où les lumières baissaient. Ni trop grande, ni trop petite, c'était la salle parfaite et c'est là que je me suis rendu en 1979 pour une séance de Stagecoach (La chevauchée fantastique) de John Ford, un de mes films fétiches que je découvrais pour la première fois sur grand écran. J'avais 15 ans et je commençais une longue éducation cinéphile au rythme des programmations de la directrice, Odile Chapel.
En 1984, la Cinémathèque s'installe dans le nouveau palais Acropolis, au 1 esplanade John Fitzgerald Kennedy. La salle gagne en volume, en confort et en qualité. Le spectateur heureux aura pu y voir des films projetés en 70 mm authentique, toujours signalés avec enthousiasme par Jacques Lemoine, le projectionniste historique. Le hall est bien réduit, mais il reste ce rituel du rideau qui coulisse pendant que le noir se fait. Les programmations sont toujours aussi passionnantes et au fil des années se greffent des avants premières, des cycles, des programmes spéciaux et des rétrospectives en présence d'invités prestigieux. C'est là que j'aurais eu la joie de voir Stanley Donen discuter de ses merveilleux films. Il y en aura bien d'autres, Bertrand Tavernier, Ettore Scola, Robert De Niro, Christopher Lee... Aujourd'hui, la Cinémathèque malgré les impératifs du centre de congrès et les différents projets de déménagement, est toujours là.
De l'îlot de Serruriers qui abrite désormais le Théâtre Francis gag, on peut descendre, à pied où en bicyclette, les ruelles du vieux Nice, passer devant le boulet de canon turc, traverser la place Saint François, déboucher sur la coulée verte et remonter le boulevard Risso pour arriver devant les néons de ce temple niçois du cinéma, qui contient tous les autres, les disparus, les survivants, toutes les histoires.
Au programme du 19 janvier 1983, Rio Bravo de Howard Hawks.
On se laisse aller au sentimentalisme…Ah, lala.
Photographies : Vincent Jourdan
Le site de la Cinémathèque de Nice
Un article sur les actuels projectionnistes
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29/09/2014
A la caisse
A l'entrée du Capitole (Photographie Vincent Jourdan)
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18/09/2014
En super 8
Quelques images prises en super 8 au début des années 2000 du Mélies, de l'Esplanade et de l'Idéal.
08:19 Publié dans Curiosité, Salle | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : méliès, esplanade, idéal | | del.icio.us | Facebook | | |
14/09/2014
Dans l'antre du Capitole
La caisse
L'escalier
Photographies Vincent Jourdan
18:43 Publié dans Curiosité, Salle | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : capitole | | del.icio.us | Facebook | | |
12/09/2014
Le Capitole
Quittons à présent la place Garibaldi et revenons au sources, le vieux Nice, au 4 rue de la tour. C'est là que se tient l'une des dernières salles historiques de la ville, Le Capitole, dont le nom orne toujours la façade. Si l'on regarde le bar juste à côté qui fait angle avec le boulevard Jean Jaurès, on remarque l'inscription « café Tivoli bar ». En effet, Le Capitole n'a pas toujours porté ce nom. Il est à l'origine le Tivoly, avec un Y, et c'est un cinéma depuis 1919. Sur une très vieille carte postale, on voit au dessus du bar de grands panneaux publicitaires. C'est en 1931 qu'il prend son nom de Capitole. Jean Renoir viendra y présenter sa Marseillaise en 1938.
Si cette salle a survécu comme bâtiment, c'est qu'elle fait partie d'un ensemble chargé d'histoire : l'îlot Saint-François, regroupant la tour du même nom, un ancien clocher, les vestiges classés d'une église-couvent des Cordeliers datant du XIIe siècle, avec encore voûtes romanes, colonnes et chœur, l'immeuble de l'Aigle d'Or et le Palais de la Bourse du Travail. Pendant près de vingt ans, il y eu, et il y a encore, de nombreux projets de réhabilitation. La Cinémathèque avait même pensé s'y installer un temps.
Photographie Lise Roman
Ce cinéma occupe une place à part pour ma génération. A partir des années 70, il sera le dernier cinéma de quartier populaire. Si populaire au plein sens du terme qu'on le surnommera avec beaucoup de finesse : "le cinéma des arabes". En 1970, c'est un cinéma comme les autres qui projette le dernier Verneuil : Le clan des siciliens avec Alain Delon, Lino Ventura et Jean Gabin. Puis en 1971 sous l'impulsion d'André Bemon il se scinde en deux salles, le Capitole et le Capri ; une manière de multisalles avant tout le monde qui passera au double programme en 1973.
Le Capri, ce sera deux films pour même pas le prix d'un. Du cinoche d'aventure, des westerns spaghetti, Trinita, Django, des sous James Bond, des séries B improbables, des films catastrophe ringards.
Le Capitole va, lui, se consacrer jusqu'à sa reconversion des années 80, au cinéma d'art martial de Hong Kong. C'est à dire, à l'époque, à des chefs d'œuvre impérissables tels que Au karaté, t'as qu'à réattaquer. Et parfois des chefs-d’œuvre authentiques bien cachés, les films de King Hu ou de Chang Cheh. La fermeture de ces salles dans l'indifférence au début des années quatre-vingt, c'est une perte irréparable pour l'amateur de séries B et Z.
Il faut se souvenir de cette entrée sombre, un peu inquiétante, du couloir menant à la caisse et des affiches colorées qui ornaient les deux côtés.
Photographie Vincent Jourdan
A la fin des années quatre vingt, la salle tente une nouvelle carrière en accueillant les concerts et les soirées organisées par l'association Image Publique. Puis ce sera brièvement un thé-dansant avant le rachat par la ville à la fin des années quatre-vingt dix. Salle de spectacle, dancing, cinéma, nul ne sait encore comment renaîtra le Capitole. Mais à l'intérieur, comme l'épave d'un navire ancien, il reste encore les balcons, les décors décrépis, et du matériel attendant le déblaiement. De nombreuses choses dont j'ai pu fixer la trace lors d'une visite en 2004.
22:11 Publié dans Salle | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : capitole, capri | | del.icio.us | Facebook | | |
08/09/2014
Les salles du (nouveau) Mercury
Salle 1 côté écran
Salle 1 côté public
Le cinéaste Paul Carpita dans la salle 1 (devant à droite avec madame)
Le cinéaste Paul Carpita dans la salle 2 (devant à droite avec madame)
Photographies Vincent Jourdan
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06/09/2014
Le nouveau Mercury
Photographie de repérages en 1996 - Lise Roman
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04/09/2014
En travaux
Lors des travaux qui allaient aboutir à la transformation du Mercury en maison des associations, au début des années 2000, j'ai pris cette série de photographies où l'on retrouve les anciennes peintures du Politéama, l'escalier menant à la salle 1 (toujours conservé), et le plus étonnant, lorsqu'ils ont gratté la façade, les traces des anciennes affiches. Comme on y distingue le nom d'Aimé Clarion, le fragment date d'avant les années soixante, mais je n'ai pas identifié le film.
Photographies Vincent Jourdan
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02/09/2014
Le Mercury par Gérard Courant
En 2010, le cinéaste Gérard Courant, invité aux Rencontres Cinéma et Vidéo, filme le nouveau Mercury pour sa série "Cinéma" dont c'est le numéro 61. Deux illustres blogueurs y font de la figuration.
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31/08/2014
Le cinéma Mercury
A partir de l'ancien Central, place du Pin, il n'y a que quelques pas à faire pour déboucher place Garibaldi et découvrir une institution niçoise, le cinéma Mercury. S'il y a bien un cinéma cher au cœur des niçois, c'est celui-là. Installée face à la statue de Garibaldi sur la place du même nom entourée d’arcades à l'italienne, la salle a une histoire complexe qui est loin d'être achevée.
Et tout d'abord, il ne faut pas chercher ses racines dans l'actuel Nouveau Mercury au 16, mais dans ce qui est aujourd'hui la Maison des Associations, au 12. Le Mercury n'est pas mort mais il s'est un petit peu déplacé.
En 1970, le Mercury s'appelle encore le Politéama et c'est déjà un lieu incontournable du quartier. Le Politéama est à l'origine un théâtre à l'italienne qui ouvre en 1892. En 1911, après des projections épisodiques, son directeur lui ajoute une cabine de projection et le transforme en salle de cinéma, l'actuelle détentrice du record de longévité dans la ville. Le Politéama devient alors une salle de quartier typique comme les Pax et Capitole.
Le récit de ses aventures m'avait été fait par la dernière gérante, Madame Danièle Bémon. Dans les années 60, il diffuse du film d'aventure et du peplum jusqu'à la perte de vitesse de ces genres. En 1970, il passe des films immortels comme : Pour un whisky de plus ou Gonflés à bloc. L'année suivante, il est racheté par André Bémon, passe à deux salles en 1972, prend le nom de Mercury et diffuse des films en première exclusivité. Mais les gens du centre ne viennent pas, la place Garibaldi a mauvaise réputation et voit s'affronter les bandes du vieux Nice, du port et de Riquier.
La façade de l'ancien Mercury avant travaux. On voit encore bien les éclairages en forme de soleil et les emplacements pour les photographies d'exploitation.
Photographie Vincent Jourdan.
Le Mercury cède alors à la mode des multisalles (il y en aura 7) et prend la décision hardie de miser sur l'art et essai et la diffusion en version originale. Pari difficile, pari gagné. Il diffuse les œuvres de Truffaut, Godard, Resnais, Allen, Bergman, Fellini, s'attachant un public très rive gauche... Du Paillon, s'entend !
Depuis le grand hall d'entrée, un escalier à la rampe de cuivre permet d'accéder à la grande salle du premier étage sur la gauche. Sur la droite, un escalier plus modeste mène à la salle 2, plus petite. Derrière la caisse se trouvent en enfilade cinq autres salles au rez-de-chaussée. Certaines sont si petites que l'on confond l'écran et la sortie de secours. Mais les films y trouvent leur chance sur la durée. Il était une fois la révolution de Sergio Leone, le premier, restera des mois à l'affiche, comme plus tard Amadeus, Pulp fiction, Y-a t'il un pilote dans l'avion ?, ou plus tard Le goût des autres où In the mood for love qui reste plus de deux ans à l'affiche.
Le premier film d'un jeune cinéaste - Collection personnelle, source Nice-Matin
En ces temps dynamiques, le Méliès qui appartient aussi à M Bémon, absorbe le Pax, le Rio 2000 et le le Mercury diffusent le cinéma dans toute sa richesse. Le propriétaire ouvre au milieu des années 80 le Royaume des Enfants à deux pas du Mercury avec son théâtre de marionnettes, sa boutique d'affiches et de photographies d'exploitation, et ses manèges entre deux Disney.
Puis ça se gâte : Le Méliès ferme en février 1988, la V.O. se répand jusque dans les cinémas de l'avenue. La Cinémathèque, le Balzac puis le Rialto lui taillent des croupières dans le créneau, les salles vieillissent...
Au début des années 90, le cinéma se replie sur le Royaume des Enfants et devient le Nouveau Mercury avec trois salles. L'ancien est vendu en 1992 à la ville qui a voulu un temps y installer la Cinémathèque... puis, on a muré les entrées et finalement, au bout d'une dizaine d'années et de gros travaux, on y accueille les associations. La grande salle du premier étage est toujours là, programmant parfois les films d'étudiants de l'ESRA Côte d'Azur. Le nouveau Mercury sera finalement racheté par le Conseil Général en 2007, rénové et passera au numérique en 2012. L'ancien projecteur 35 mm trône dans l'entrée. Actuellement Le Mercury diffuse autant de films à lui tout seul que toutes les autres salles réunies...
Sous l'impulsion de Pascal Gaymard et d'une équipe qui allie la nouvelle génération à de vieux routiers passionnés, le Mercury trouve une seconde jeunesse en recevant de nombreuses associations qui proposent des programmations originales associées à des débats et des rencontres (Cinéma Sans Frontières, Cinénasty, Regard Indépendant, cinéma africain, cinéma et démocratie), retrouvant un peu l'esprit combatif des années 60/70. Une belle histoire qui n'est pas terminée.
Le Mercury aujourd'hui. DR.
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29/03/2014
Un programme de l'Excelsior
22:46 Publié dans Curiosité, Réclame, Salle | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : excelsior, concorde | | del.icio.us | Facebook | | |
27/03/2014
Une des plus belles salles de Nice
Petit dépliant publicitaire pour le Royal, vantant son équipement de pointe (Le même que celui du Palais des festivals de Cannes). On ne regrettera jamais assez la disparition de cette salle. Collection personnelle.
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25/03/2014
Barry au Royal
Publicité du Royal pour le film Barry de Richard Pottier sorti en 1949 avec Pierre Fresnay et Simone valère. Barry est le nom du chien qui est le héros du film. Source Delcampe.
09:27 Publié dans Curiosité, Réclame, Salle | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : royal | | del.icio.us | Facebook | | |
23/03/2014
Macario au Royal
Le Royal toujours avec cette publicité pour Come persi la guerra (Sept ans de malheurs), comédie italienne de 1947 réalisée par Carlo Borghesio avec le célèbre quoique bien oublié aujourd'hui comique Erminio Macario. Macario a beaucoup joué avec Toto jusque dans les années soixante. Ce film est sorti en France en novembre 1948.
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20/03/2014
Les premiers temps
A lire, un article publié sur le site de l'association Gloria Mansion, à propos des cinémas niçois, des origines aux années vingt. Rédigé à partir du travail de René Prédal paru dans la revue de la Cinémathèque de Nice en 2009.
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18/03/2014
Anna au Royal
Nouvelle publicité du Royal, décidément très actif en la matière, pour le film Anna (1951) d'Alberto Lattuada avec Silvana Mangano. Après le célèbre fakir Ynaleb, les spectateurs niçois de 1952 pouvaient découvrir la fameuse scène de danse à laquelle Nanni Moretti rendre hommage dans Caro Diario (1993). Source Delcampe.
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15/03/2014
On liquide au Jeanne d'Arc
Début décembre la salle paroissiale du Jeanne D'Arc a été vidée. Jean-François Gal a assisté au déménagement et m'a fait parvenir ces quelques images : les sièges en bois, l'entrée... Qu'il en soit ici remercié.
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22/01/2012
L'Eden
Déjà évoqué à l'occasion de commentaires sur les cinémas de l'ouest de Nice, retour sur l'Eden, quartier Lavalière, route de France puis de Marseille, et désormais boulevard René Cassin. La salle de 300 places ouvre 1928, sous le nom de "Cinéma-Etoile" et change plusieurs fois de nom : Cinéma des Fleurs en 1932, puis Roxy en 1934 et finalement Eden en 1939. Cinéma de quartier typique, cinéma « pouilleux » comme s'en souvenait M Zoarelli dans la plaquette de la Cinémathèque de Nice de 1996, il a toujours été adossé à un restaurant. Aujourd'hui encore, quoique reconverti en pizzeria dans un quartier méconnaissable. La salle a fermé en 1971. A lire et voir sur Ciné-façades. Photographie Street view.
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20/01/2012
Le Star
Le Star était situé rue du docteur Richelmi, dans le quartier Riquier. C'était une des salles favorites de Louis Nucéra qui l'avait évoquée lors de sa mémorable conférence à la Cinémathèque de Nice en 1996. la plaquette éditée à l'époque (on fêtait les cent ans du cinéma à Nice) propose un témoignage de M Guglielmo qui évoque les séances du jeudi après-midi, en ces temps où les enfants n'allaient pas à l'école ce jour là. Séances complètes avec documentaire, actualités et dessin animé, les gens apportaient leurs chaises, les enfanst resquillaient, les hommes se retrouvaient au bar. A noter que le Star proposait à ses clients un garage gratuit à l'intérieur. La salle a ouvert en 1941 à l'emplacement d'un dancing et ferme en 1967. Adossée aux halles St Roch – Mont-Boron, la salle finit en fabriquant d'enseignes avant d'être démolie, ce qui est bien triste, au début des années 2000 avec tout le bloc.
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15/01/2012
Le Central, plan du parterre
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13/01/2012
Le Central aujourd'hui
Côté rue Bonaparte, l'arrière de la cabine de projection. Photographie Lise Roman
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